Hier, à Donetsk, la soirée a offert un condensé parfait de Jérémy Ménez, footballeur et homme de 25 ans. Ce dernier est agaçant, parfois, tant son attitude peut paraître hautaine, voire même impolie. Comme par exemple lors de son passage devant les médias en zone mixte en quittant la Donbass Arena. L'œil vissé sur son téléphone portable, le milieu de terrain parisien n'a pas daigné tourner la tête, encore moins commenter la victoire des Bleus et sa prestation.
Le footballeur, titulaire surprise au poste de milieu excentré droit dans le 4-2-3-1 de Laurent Blanc, a livré une prestation contrastée comme cela lui arrive également sous les couleurs du PSG. D’un côté, il a étalé ses fabuleuses qualités de dribbles et de vitesse ; de l’autre, il a affiché un manque de réalisme criant qui aurait pu coûter cher aux Bleus si Chevtchenko avait remporté son duel face à Lloris (35e).
Le parisien
Le footballeur, titulaire surprise au poste de milieu excentré droit dans le 4-2-3-1 de Laurent Blanc, a livré une prestation contrastée comme cela lui arrive également sous les couleurs du PSG. D’un côté, il a étalé ses fabuleuses qualités de dribbles et de vitesse ; de l’autre, il a affiché un manque de réalisme criant qui aurait pu coûter cher aux Bleus si Chevtchenko avait remporté son duel face à Lloris (35e).
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